L’héritage et la croissance d’une entreprise familiale de transport
Bien que les opérations aient débuté en 1996, c’est véritablement quatre ans plus tard qu’Adrien Roy, après un interlude comme agriculteur, est revenu de façon davantage structurée au domaine du transport.
Poursuivre l’héritage de mon père
Nous sommes fiers de continuer l’oeuvre de mon père. Noémie n'avait que 31 ans quand il est décédé et ç’a été un très gros défi qu'elle a dû surmonter, soit de passer de la zone de la fille du boss à être dans la peau de celui-ci. Bien qu’il m’y avait préparé un peu et qu’il avait toujours été là pour m’aider, c’était de grosses chaussures à porter. Nous avons su nous relever de belle façon et faire fructifier l’entreprise. Par exemple, nous avons depuis ce temps doublé la taille de l’équipe.
Un souvenir d’enfance inoubliable
Au passage, elle raconte une anecdote qui l’avait marquée, encore toute jeune. « Ça se passe en 1993 quand j’étais âgée de seulement 9 ans. Mon père nous amène ma sœur et moi dans la cour de Lebeau Vitres d’autos à Saint-Georges. En arrivant là-bas, quelle ne fut pas notre surprise et notre fierté de voir sur la portière du camion, en grosses lettres orange" Transport Adrien Roy et Fille!
UNE ENTREPRISE DIVERSIFIÉE
Transport Adrien Roy et Fille occupe trois créneaux bien distincts, mais complémentaires : l’épandage d’abat-poussière liquide sur les rangs non-asphaltés, le transport sur plateforme ainsi que l’entretien et la peinture des camions dans son atelier de Saint-Martin-de-Beauce.